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" La notion de libre arbitre, synonyme de liberté, désigne le pouvoir de choisir de façon absolue, c’est à dire d’être à l’origine de ses actes. Autrement dit un sujet libre est censé pouvoir choisir de lui-même ce qu’il choisit, sans être poussé à l’avance d’un coté ou d’un autre par quelque influence ou cause que ce soit. "


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lundi 17 janvier 2011

MTV pub satanique.

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Josh Fox, réalisateur anti-gaz de schiste considéré comme TERRORISTE.

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Metteur en scène de théâtre et réalisateur de fiction, Josh Fox n’avait rien d’autre que sa caméra qui le prédestinait au documentaire. D’une simple lettre d’une compagnie gazière reçue dans sa maison familiale de Pennsylvanie, havre de paix au bord de la rivière Delaware, il s’est immergé tout entier dans le cauchemar des gaz de schistes pendant un an et demi afin de comprendre ce qui arrivait à son pays. Avec un ami monteur, il a produit Gasland, documentaire politique, écologique et expressionniste sur une Amérique prête à sacrifier air pur, eau douce et santé humaine pour quelques mètres cubes de gaz de plus… Devenu hérault de la lutte contre une industrie énergétique sans scrupules, il présentera pour la première fois son film en Europe du 16 au 21 janvier à Londres. En attendant l’arrivée de son film en France, Josh Fox a accepté de livrer à OWNIpolitics quelques détails sur sa mission d’intérêt général.

Comment a commencé le tournage de Gasland ?

Ca s’est passé exactement comme je le raconte dans le film : mon père a reçu une lettre qui nous proposait d’exploiter du gaz sur notre terrain. Il m’a demandé de “jeter un oeil à cette histoire” : la zone du haut Delaware n’est pas une zone d’exploitation d’hydrocarbure, c’est une magnifique région d’étangs où nous n’avions jamais rien vu de tel. Bien sûr, les compagnies de gaz nous ont promis que nous ne les remarquerions même pas, que nous allions gagner énormément d’argent… et c’est ce qu’ils nous ont offert.

Mais mes voisins sont venus m’expliquer qu’ils avaient jeté un œil au procédé, qui consistait à injecter des produits chimiques dans le sol… Bref, tout ça ressemblait à un énorme projet industriel et j’ai voulu savoir de quoi il en retournait. Je suis donc allé à Dimmick, où ce genre de forage avait déjà eu lieu. Quand je suis revenu, je savais qu’il fallait empêcher que ça se produise chez moi et enquêter là-dessus parce que ça relevait du scandale national. Alors qu’au départ c’était juste un film pour informer mes voisins !

D’où est venu l’idée de ce titre, Gasland ?

Le titre ne nous est venu qu’à la toute fin de la réalisation : nous regardions une campagne de pub cinéma des années 1950 pour le gaz naturel en Pennsylvanie et il y avait une réplique qui nous a frappé à propos des pipelines et des puits : “et ce genre de sites et de sons, vous pouvez les voir partout dans le Gasland !” Et là, ça a été le déclic : nous nous sommes regardés avec mon coéquipier : nous avions notre titre !

Comment s’est déroulé la production du film elle-même avant sa projection en salle ?

Nous projetions le film au fur et à mesure que nous le produisions pour informer les habitants de la région du haut Delaware : nous montrions des bouts de 10 minutes, 30 minutes… Nous étions déjà en contact avec notre public, ce qui nous aidait à sélectionner les séquences, et ça nous permettait de voir un peu mieux ce que nous pourrions faire comme film.

Mais le film Gasland lui-même est né d’un travail à deux, avec le monteur, enfermés pendant un an dans une pièce où nous choisissions ce qui nous plaisait le plus en nous inspirant du cinéma expérimental et notamment d’une de nos grandes références : Jean-Luc Godard ! Plutôt que “Que ferait Jésus à notre place ?” pour nous guider, nous avions un WWGD sur notre frigidaire pour “What would Godard do ?” (“que ferait Godard à notre place ?”). Même si nous voulions en faire un projet mainstream, ça nous paraissait essentiel d’y ajouter notre fibre artistique.


Quand avez-vous commencé à sentir de la pression de la part des entreprises exploitantes ?

L’industrie gazière a surfé sur le débat lancé par notre film : ils ont lancé une énorme campagne de publicité, qui à mon avis nous a beaucoup profité car elle a fait monter le buzz. Ils ont été jusqu’à produire leur propre film, en copiant le style “caméra à l’épaule” du nôtre, ce qui est assez flatteur quand on y pense ! Mais leurs efforts se sont retournés contre eux au final : plus ils en faisaient, plus les gens se posaient des questions sur ce qui ne tournait pas rond… Plus ils attaquaient notre film et plus ils attiraient l’attention sur notre initiative, aidant les gens à réaliser que leur défense ne tenait pas debout !

Vous avez tout de même été ajouté sur la Terror Watch List du Department of Homeland Security (ministère de l’Intérieur américain) !

Tout ce truc à propos de la Terror Watch, c’est le genre de chose auquel vous finissez par vous attendre : ces sociétés ont tellement d’argent et de pouvoir, c’est effrayant ! Mais c’est bien plus effrayant de perdre le travail d’une vie : cette maison en Pennsylvanie, mon père l’a construite de ses propres mains. Alors, au pied du mur, vous n’avez pas d’autre choix que de vous battre.

Avez-vous trouvé du soutien en dehors de vos voisins et de vos amis ?

Pour commencer, des centaines de milliers de personnes se sont impliquées à travers les États-Unis, tout le monde se sent concerné, et, pour faire circuler l’information et alerter les gens, l’aide des fondations que nous avons rencontré pendant notre tournée a été cruciale. Nous avons projeté notre film au Congrès, dans tout l’État de New York à l’Environemental Protection Administration (agence de protection de l’environnement) et au ministère de la Justice. Nous avons également reçu un soutien considérable de la communauté du film documentaire qui nous a notamment fourni une aide juridictionnelle quand l’industrie gazière nous a attaqué.

Une ligne est tracée au milieu des États-Unis ceux qui acceptent d’être à la merci des sociétés exploitantes d’hydrocarbures, qui sont dans une mentalité où l’humain n’a pas d’importance, et une armée de personne qui s’inquiète de la “vraie” Amérique et qui défend l’égalité, la liberté, la justice et l’éducation. Et nous, nous sommes entre les deux.

Pouvez-vous nous dire où en est la bataille dans votre région de Pennsylvanie ?

Nous venons de remporter une grande victoire : l’État de New York a voté un moratoire sur la fracturation hydraulique du fait des preuves qui sont sorties, c’est une première ! Pour en arriver là, il a fallu que nous donnions un exemplaire de Gasland à chacun des membres de l’Assemblée de l’État, ce qui fait quelques centaines, plus une à chacun des 70 sénateurs de l’État.

En Pennsylvanie, là où coule la Delaware River, c’est une autre affaire : l’État vient d’élire un gouverneur extrêmement favorable à l’exploitation des gaz de schistes, Tom Corbett, qui a reçu un million de dollars de l’industrie gazière pour financer sa campagne. La commission du bassin du Delaware a approuvé plusieurs puits d’exploration, trois ont été forés et nous avons déjà constaté des signes de contamination de l’eau, l’un d’eux à quelques kilomètres de chez moi. Cela ne fait que plus nous motiver pour nous battre.

Comment expliquez-vous le retard des médias dans la couverture de cette affaire ?

Aux États-Unis, l’information est restée sous la côte d’alerte pendant pas mal de temps. Les premières explosions ont eu lieu au Texas, au Colorado, au Wyoming, qui sont des États peu denses où la production de gaz et de pétrole est déjà bien installée… Pas de quoi faire la Une des médias nationaux. Mais quand l’affaire est remontée jusqu’à New York et à la Pennsylvanie, des zones hyper peuplées, avec une grosse exploitation des nappes phréatiques et sans passif d’exploitation d’hydrocarbures, l’affaire a très vite fait parler.

Vous revenez d’Australie : y alliez-vous également pour enquêter sur les gaz de schistes ?

Nous avons fait des séquences à propos de l’exploitation des couches de charbon méthanier (coalbed methane) en Australie, qui sont très proches de la problématique des schistes : la technique est proche de la fracturation hydraulique et le gouvernement s’est aligné sur les entreprises pour littéralement exproprier les gens. Il y a les mêmes problèmes de contamination de l’eau douce, pollution aérienne, vols des terres agricoles… Comme aux États-Unis, les gens sont poussés au dehors pour faire place à de vastes projets d’exploitation de gaz. Nous avons été là-bas pour soutenir les gens et parler de la situation en Australie.

Avez-vous le projet de réaliser un Gasland 2 ?

Nous ne savons pas encore quelle suite donner à Gasland mais nous en ferons probablement une : tout bouge tellement vite en ce moment que nous n’avons pas encore eu le temps de prendre un pas de recul. Nous réalisons également un film sur les énergies renouvelables.

Vous avez obtenu du soutien de la chaîne câblée HBO : pensez-vous que la télévision soit un medium indispensable pour faire passer votre message ?

Nous avons choisi de faire les deux : une distribution cinéma à notre manière et un partenariat avec HBO. Ils nous ont autorisé à partir en tournée avec notre film avant la diffusion télé et de le passer en salle ensuite. Mais nous savions que le sujet était très grave et nous voulions que ça se sache. Or, quoiqu’on dise, diffuser le film dans 40 millions de foyers, c’est une force de frappe inégalable ! Avoir accès à la télévision, c’est rentrer directement chez les gens et ça nous a énormément aidé. Nous avons bénéficié de leur machine de relation presse qui est fantastique mais nous voulions rester en contact avec les gens, montrer le film à travers le pays et répondre aux questions qu’ils se posaient. Prendre contact avec les organisations locales était un point clé de notre mission.

Comment les gaz de schistes ont-ils changé votre vie ?

En tant que directeur de théâtre, j’ai l’habitude de donner ma vie pour mes projets. Mais ce projet est différent car il a pris une ampleur nationale et que ce que nous faisons fait évoluer le débat. C’est très excitant et ça prend un temps fou mais nous nous battons pour l’État de New York, pour la Pennsylvanie…. Nous nous battons pour tellement de personnes : tous ces gens qui nous livrent leurs histoires, c’est une expérience extraordinaire, mais ça me donne aussi une obligation morale de me battre pour eux.

Pensez-vous être plutôt un réalisateur ou un activiste ?

Je suis un trouveur, je cherche la vérité, et je considère que le fait d’avoir une éducation vous donne des responsabilité. Je suis directeur de théâtre mais j’ai du tout mettre de côté pour ce projet, à la grande déception de ma compagnie. Mais ils comprennent : je n’ai pas choisi cette bataille, c’est elle qui m’a choisi, en arrivant dans ma boîte aux lettres !

Actuellement, je fais tout ce qui est en mon pouvoir : des gens nous contactent du monde entier, chaque jour, pour nous demander de l’aide ou des conseils, de diffuser le film… C’est le genre d’aventure qui ne vous arrive qu’une fois dans une vie, j’y investis donc tout ce que j’ai car c’est un danger mortel. Ce que je veux, c’est qu’on me rende ma maison, ma vie, ce sentiment de paix et de sécurité… Et s’il faut deux ans de campagne acharnée pour que ça s’arrête, alors je la mènerai et je sais que nous gagnerons.


Merci à Jane ;)
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Ol Dirty Bastard assassiné ?

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Ol' Dirty Bastard, (au civil Russell Tyrone Jones), né le 15 novembre 1968 à Brooklyn et décédé le 13 novembre 2004 à New York, est un rappeur américain membre du groupe Wu-Tang Clan.

Le samedi 13 novembre 2004, après s'être plaint de douleurs à la poitrine, Ol' Dirty Bastard est victime d'une crise cardiaque dans un studio d'enregistrement. Les secours ne parviennent pas à le réanimer. Selon les médecins légistes, Ol' Dirty Bastard est décédé à cause d'un mélange de cocaïne et d'un puissant anti-douleur opioïde, le Tramadol. Le rappeur aurait subi une surdose de ces 2 substances, ce qui aurait causé les douleurs à la poitrine dont il s'était plaint, puis la mort...Du moins c'est Wikipédia qui le dis...




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Google earth - Géométrie FM Rome, Italie.

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Royaume-Uni: les généralistes reçoivent la consigne de réutiliser les stocks de vaccins H1N1 de 2009.

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C'est paru dans le journal anglais The Guardian, le 6 janvier 2011.

Les officiels de santé britanniques vont puiser dans leur stock de millions de doses de vaccins H1N1 Pandemrix de 2009. Et donc, la consigne est donnée aux médecins de terrain de les réutiliser.

Dans cet article, on peut lire que l'Agence de Santé britannique a fait état de 45 décès attribués au H1N1 et 5 au virus de souche B. Des chiffres sont cités au sujet de la répartition des décès en fonction de l'âge. Et d'autres chiffres parlent des gens hospitalisés en soins intensifs.


Le tableau dressé est très noir mais il fallait aussi une touche émotionnelle.

Elle fut toute trouvée dans la réaction de parents dont la fille est décédée 2 semaines après avoir accouché, des suites d'une infection H1N1: "Nous pressons toutes les personnes à risque, et particulièrement les femmes enceintes, de se faire vacciner contre la grippe."

Voilà bien un message de type émotionnel dont la rationalité ne résiste pas à une analyse sérieuse: non seulement leur fille aurait pu quand même décéder tout en étant vaccinée (comme divers cas l'ont montré en Grande-Bretagne notamment) mais en plus, les décès et infections grippales pourraient bien se doubler de décès et de complications graves post-vaccinales en cas de vaccination massive de la population.
Initiativecitoyenne.be
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Des toxiques dans notre assiette.

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. OGM : des pistes pour comprendre .
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État des connaissances sur la relation entre les activités liées au gaz de schiste et la santé publique : rapport préliminaire.

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L'Institut national de santé publique du Québec (INSPQ) a rendu public, le 14 janvier, un rapport préliminaire intitulé État des connaissances sur la relation entre les activités liées au gaz de schiste et la santé publique qui visait à recenser la littérature scientifique et technique portant sur les risques pour la santé associés aux activités d’exploration et d’exploitation.




"Le document soulève plusieurs éléments de préoccupation au regard des risques à la santé", résume l'INSPQ. "La recension des écrits a permis d’identifier quelques dangers, réels, soupçonnés ou potentiels, mais ne permet pas, pour l’instant, d’évaluer les risques à la santé pour la population québécoise".

Risques technologiques et les urgences en santé publique

Des accidents et des incidents en lien avec les activités d’exploitation du gaz de schiste ont été rapportés dans la littérature. Les principaux incidents susceptibles de menacer la santé sont les explosions, les incendies, les fuites et les déversements de substances dangereuses. Il est impossible d’estimer leur fréquence historique aux États-Unis et au Canada. Des incidents ayant entraîné des blessures ou des décès se sont produits dans plusieurs états ou provinces où il y a de l’exploitation et ce, encore tout récemment.

Risques liés à la pollution de l’air

Les concentrations d’une variété de polluants sont susceptibles d’augmenter dans l’air ambiant, sur les lieux des sites d’exploration et d’exploitation gazifière ou à leur proximité, pouvant ainsi accroître l’exposition des populations environnantes. Il s'agit d’oxydes de soufre, de particules, d’oxydes d’azote et de composés organiques volatiles (COV).

Risques reliés à la contamination de l’eau

Les procédés d’exploitation utilisent ou rejettent, lors des opérations, plusieurs substances dont certaines ont un potentiel toxique reconnu et qui pourraient affecter la santé de la population advenant une contamination de l’eau. Des cas de contamination de l’eau souterraine ont été rapportés et sont suspectés, mais non confirmés, être reliés à l’exploitation du gaz de schiste.

« Le potentiel de radioactivité des débris de forage et des eaux usées, ainsi que des eaux sursalées est réel », indique le rapport.

« Dans les schistes de Marcellus (New York), le radium-226 a été retrouvé dans les eaux usées et est devenu une grande préoccupation. Ce dernier est sensiblement soluble dans l’eau et a une demi-vie d’environ 1600 ans. Une problématique additionnelle connue consiste en l’élimination adéquate de ces déchets potentiellement radioactifs. En effet, les options de disposition des déchets solides et liquides radioactifs ne sont pas clairement établies et ne sont pas encadrées, même aux États-Unis où cette problématique est connue depuis quelques années. Cet enjeu pourrait devenir une problématique de santé publique si les déchets des schistes d’Utica et de Lorraine démontrent de la radioactivité. »

L’INSPQ s’inquiète également du « traitement et de l’élimination inadéquate » des eaux de forage qui peut mener à une contamination de l'eau potable.

Les premiers résultats préliminaires de l’étude exhaustive menée sur le sujet par l’Agence de protection américaine de l’environnement devraient être accessibles vers la fin de l’année 2012.

Risques d’effets sur la qualité de vie

Certains changements sont survenus dans la qualité de vie des populations avoisinant l’exploitation du gaz de schiste. Ils sont d’abord associés à l’augmentation importante de nuisances spécifiques (circulation, bruit, luminosité, vibrations). Par ailleurs, des effets sociaux ont été constatés, dont une bonne part semble directement associée à l’effet boomtown, lié à l’arrivée de travailleurs et de leurs familles, et donc à l’augmentation rapide de la population.

Réaction de l'Association québécoise de lutte contre la pollution atmosphérique (AQLPA)

L'Association québécoise de lutte contre la pollution atmosphérique (AQLPA) a réagit à ce rapport par voie de communiqué. Le rapport dresse un portrait inquiétant des impacts sur la santé qui confirme la nécessité d'imposer un moratoire, souligne-t-elle.

L'association relève les passages suivants du rapport: «l'exploitation gazifière non traditionnelle a été associée dans un cas précis à la production d'ozone au sol, en raison de l'augmentation de l'émission de gaz précurseurs à sa formation (les COV et les NOx)(P.14)». Et, en page 15, que «des augmentations des niveaux de contaminants comme le benzène pourraient donc être observés dans les résidences localisées très près des installations gazifières et contribuer à augmenter les risques de cancer et d'effets neurotoxiques des habitants […].»

Enfin, relève l'association, le rapport précise «On ne sait pas, dans le cas de l'exploration et de l'exploitation gazifière non traditionnelle, si un nombre important d'individus verront leur exposition aux principaux contaminants de l'air (PM2.5, NOx, SOx et ozone) augmenter (p.16)». Le rapport de l'INSPQ confirme aussi que «l'exploration et l'exploitation gazifière sont associées à des émissions de gaz à effet de serre (GES) dont le CO2 et le méthane […]» et que les «[…] chiffres sur les émissions de GES associées à cette activité sont rares et discutables ».
inspq.qc.ca
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Farid Smahi - Marine est financée par Israël !

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Evincé du nouveau bureau politique, Smahi, de confession musulmane, dénonce le "racialisme" de la "pro-sioniste" Marine Le Pen, qu’il accuse d’être payée par l’Etat d’Israël.



. Farid Smahi claque la porte du FN : "Marine est financée par Israël ! .

. Quel lien a Marine Le Pen avec le Sionisme ? .

... Il y en a qui tombe de haut apparemment ... Cela me fait bien rire !
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Les banques face à la justice - Foreclosure gate.

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Le début de l’année est particulièrement mouvementé du côté du Foreclosuregate. Les tous premiers jours de janvier avaient laissé espérer aux banques une sortie en douceur du scandale, au prix de quelques milliards de dollars. Ennuyeux, certes, mais au regard du tableau des risques globaux, supportable. Mais le 7 janvier, un jugement de la cour suprême du Massachusetts est venu gâcher le week end de quelques PDG de banques collecteuses d’emprunts, les grands loan servicers.




L’affaire Ibanez Vs. US bank


Le match vient de prendre une autre tournure avec le jugement « Ibanez contre US Bank » et « LaRace contre Wells Fargo », deux affaires jugées simultanément par la cour suprême du massachussets.

Que dit ce jugement ? Et bien il confirme en tout point l’analyse des deux cours de première instance et d’appel, qui était celle que je vous livrais dès le mois d’octobre, et ce contre l’avis de nombreux médias qui n’y voyaient qu’un simple « problème de procédure ».

Il n’y aura pas de maison gratuite pour les foyers en défaut de paiement, car les emprunteurs en défaut de paiement sont également fautifs et ne peuvent s’enrichir du fait de leur faute. Au moins, dans ce jugement, les banques ne perdent pas tout.

Mais les DEUX parties doivent respecter la loi, et à partir du moment ou la banque a été incapable de présenter des pièces valides prouvant qu’elle était bien détentrice de la créance et de l’hypothèque, le juge avait raison de ne pas autoriser la mise en liquidation de M. Ibanez à son profit. Autrement dit, M. Ibanez devra bien finir par payer ou être saisi, mais la banque qui saisira au final la maison devra prouver sans ambiguïté qu’elle est bien celle qui doit recevoir le produit de la faillite. Tant que ça n’est pas le cas, pas de saisie.
En outre, la cour condamne une pratique courante des banques, celle de « l’assignation en blanc de la créance ». En effet, une créance pouvait être originée par le courtier A, agissant pour le compte de la banque locale B, revendant la créance à un « sponsor » C, proposant un petit pool de prêts à une banque d’affaires D, qui montait un MBS avec un grand réseau national de banque classique E. Et encore, ce schéma n’est pas le plus complexe.
Au lieu d’enregistrer chaque transfert (et de payer les taxes afférentes…), les banques préféraient remplir une « assignation en blanc », laquelle n’était finalement remplie qu’une seule fois, au moment de la faillite de l’emprunteur. Le problème est que faute d’une chaîne complète de transmission, aucune garantie n’existe que des altérations, contrefaçons ou autres fraudes n’ont pas eu lieu en cours de transmission de la créance.

Or, toute l’industrie du crédit a pratiqué massivement l’assignement en blanc des créances. Le jugement Ibanez va donc donner de formidables arguments aux avocats des familles menacées d’expulsion pour stopper les procédures.

Conséquences du jugement

Un aspect essentiel de ce jugement est que la cour a refusé une demande des banques selon laquelle ce jugement aurait été uniquement « prospectif », c’est à dire limité aux faillites futures. Ce jugement frappe potentiellement de nullité toutes les faillites qui seraient affublées des mêmes soucis paperassiers.

Ce sont donc des dizaines de milliers de faillites passées dans l’état du Massachusetts – au minimum- qui sont potentiellement susceptibles d’être remises en cause. Sans parler des faillites futures, pour le moment en « standby ».

Certes, toutes les familles expulsées par le passé ne vont pas se saisir du jugement pour tenter de toucher des dommages et intérêts, voire, pire (pour les banques), faire déclarer nulle et non avenue leur saisie. Mais il suffit qu’un nombre suffisant d’entre eux le fasse pour plonger le marché des ventes sur saisie dans un chaos incroyable. Listons brièvement tous les problèmes auxquels les banques devront faire face :

- « La tâche d’huile » : un jugement de cour suprême locale -d’un état important, qui plus est- confirmant deux jugements de première et seconde instance a de fortes chances de faire jurisprudence dans plusieurs autres états. Reste à savoir lesquels. Que la Californie ou la Floride suivent, et les grandes banques collectrices de prêts risquent très très gros.

- « Le gel » : Des gens qui ont acheté de bonne foi une maison aux enchères vont faire face au risque de voir la vente annulée pour cause de contestation judiciaire de la saisie et de doute sur la validité du titre de propriété. Il ne reste plus qu’à souhaiter qu’ils aient une bonne « assurance titre », spécificité américaine permettant de s’assurer contre les litiges de propriété postérieurs à une vente. Mais surtout, cela va durablement éloigner les acheteurs des maisons revendues sur saisie. Cela aura des conséquences catastrophiques sur les délais de recouvrement, pourtant déjà fort longs, des pertes des banques suite à saisie immobilière.

- « le coût des saisies » : les banques vont devoir reconstituer à la main toute la chaine de transmission des créances depuis l’origination jusqu’à la titrisation. Or, le fait que deux grands réseaux bancaires aient été proprement incapables de montrer une chaine de propriété valide en première instance, PUIS en appel, donne crédit à l’hypothèse selon laquelle dans de nombreux cas, les titres originaux ont été tout simplement perdus ou détruits. Les banques avaient tellement confiance dans leur système d’enregistrement électronique MERS, invalidé par la justice de nombreux états depuis, qu’elles ont cru pouvoir se passer de tenir de bons vieux registres papier en ordre. Comment s’en sortiront-elles ? Et surtout, combien cela leur coûtera-t-il ?

- « l’engorgement des tribunaux » : les délais de mise en recouvrement des débiteurs en défaut augmentera aussi parce que la justice n’arrivera plus à suivre dans un délai raisonnable tous les contentieux qui lui seront présentés.

- « L’incitation au défaut stratégique » : les propriétaires en difficulté moyenne pourront plus encore qu’auparavant choisir de se mettre en défaut et d’utiliser les arguments des jugements de première instance de l’affaire Ibanez pour faire durer la procédure, gagnant plusieurs années de logement gratuit, avant de se tourner vers le marché de la location, inondé de propriétés invendables.

Suite et source:
contrepoints.org
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‎DSK - le Président du FMI félicite le gouvernement tunisien.

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‎"DSK", le Président du FMI félicite le gouvernement tunisien pour sa politique économique, "exemple pour tous les pays émergents", et fait la promo de l'intégration économique des pays du Maghreb (après l'UE, il faut construire l'UM), seul moyen de résister aux crises venues d'ailleurs…
Un grand moment de télé à diffuse...r largement !



. Emeutes en Tunisie - Actualité .
youtube.com/watch?v=xEA9X6j7b_U&feature=player_embedded

Le nombre 19 dans le Coran.

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Franck lepage - l'eau en bouteille.

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Paul Stamets - Changer le monde avec les champignons.

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Le mycologue Paul Stamets dresse la liste des 6 moyens de sauver le monde avec le mycélium des champignons : dépolluer les sols, créer des insecticides, traiter la variole et même la grippe...








. xiberia.info .

. Dr SIMONCINI - BICARBONATE DE SODIUM VS LE CANCER !! .
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Ovni ou drone filmé 100% NO FAKE !

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Remerciement à Yann - 18Production pour avoir mis en ligne sa vidéo.

Garantie 100% NO FAKE !



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Murata Boy - Le robot cycliste.

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Robot-cycliste Murata Boy présenté au CES 2011.

Murata se livre sous nos yeux ébahis à un exercice d’équilibre d’un immobilisme fascinant, qui laisse d’abord croire à un trucage ou penser que les roues sont collées au sol.

Mais que nenni, merveille de la technologie, il doit son équilibre justement à toute la panoplie électronique qu’il embarque, qui lui permet de simuler un comportement humain de vrai cycliste, en mieux, et de tenir droit sur ses pédales, fier comme Artaban.


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