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D'après William Rodriguez, gardien des tours, plusieurs gros bourdonnements ont été entendus au sous-sol, niveau B2 ou B3 des tours, juste avant que les avions ne touchent les tours.
M. Rodriguez affirme également que le centre de contrôle de la tour construit après les attentats de 1993 était vide après cette explosion.
Il affirme que seule une partie des témoignages de ces bruits a été entendue par la commission d'enquête.
Les critiques de cette théorie font remarquer que, compte-tenu de la vitesse du son dans l'acier, environ 16 fois plus élevée que la vitesse du son dans l'air, les explosions ont pu être ressenties en deux temps par les témoins, d'abord transmises le long des cages d'ascenseur, avant d'être entendues. Ce phénomène pourrait expliquer l'illusion d'explosions souterraines.
William Rodriguez expliqua également aux membres de la commission d'investigation qu'il était le tout dernier survivant sorti des décombres, ce qui a été établi comme inexact par la suite. Au moins 18 personnes vivantes furent sorties de la Tour Nord, jusqu'à bien longtemps après lui.
La dernière survivante sortie des décombres fut Jenelle Guzman-McMillan, qui fut secourue quelques 26 heures plus tard, vers 12h30 le lendemain des attaques.
William Rodriguez affirme enfin avoir vu des dégâts matériels ainsi que des brûlés dans les sous-sols suite à ce bruit.
Quatorze autres personnes ont ressenti et entendu le même bourdonnement.
Aucune de ces 14 personnes n'a cependant été témoin d'une explosion.
Dans ses plus récentes interviews, notamment le 17 août 2007, William Rodriguez parle d'une explosion et non plus d'un bourdonnement/bruit sourd.
Quelques secondes avant l'écroulement des tours
William Rodriguez, l'un des gardiens de la Tour Nord, affirme que le contenu des tours (mobilier de bureau, papiers, ordinateurs...) ne permettent pas d'expliquer de telles explosions[réf. nécessaire], les bâtiments étant selon lui en conformité avec l'interdiction d'avoir recours à l'usage de conteneur à gaz potentiellement explosifs dans des bâtiments de cette importance.
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D'après William Rodriguez, gardien des tours, plusieurs gros bourdonnements ont été entendus au sous-sol, niveau B2 ou B3 des tours, juste avant que les avions ne touchent les tours.
M. Rodriguez affirme également que le centre de contrôle de la tour construit après les attentats de 1993 était vide après cette explosion.
Il affirme que seule une partie des témoignages de ces bruits a été entendue par la commission d'enquête.
Les critiques de cette théorie font remarquer que, compte-tenu de la vitesse du son dans l'acier, environ 16 fois plus élevée que la vitesse du son dans l'air, les explosions ont pu être ressenties en deux temps par les témoins, d'abord transmises le long des cages d'ascenseur, avant d'être entendues. Ce phénomène pourrait expliquer l'illusion d'explosions souterraines.
William Rodriguez expliqua également aux membres de la commission d'investigation qu'il était le tout dernier survivant sorti des décombres, ce qui a été établi comme inexact par la suite. Au moins 18 personnes vivantes furent sorties de la Tour Nord, jusqu'à bien longtemps après lui.
La dernière survivante sortie des décombres fut Jenelle Guzman-McMillan, qui fut secourue quelques 26 heures plus tard, vers 12h30 le lendemain des attaques.
William Rodriguez affirme enfin avoir vu des dégâts matériels ainsi que des brûlés dans les sous-sols suite à ce bruit.
Quatorze autres personnes ont ressenti et entendu le même bourdonnement.
Aucune de ces 14 personnes n'a cependant été témoin d'une explosion.
Dans ses plus récentes interviews, notamment le 17 août 2007, William Rodriguez parle d'une explosion et non plus d'un bourdonnement/bruit sourd.
Quelques secondes avant l'écroulement des tours
William Rodriguez, l'un des gardiens de la Tour Nord, affirme que le contenu des tours (mobilier de bureau, papiers, ordinateurs...) ne permettent pas d'expliquer de telles explosions[réf. nécessaire], les bâtiments étant selon lui en conformité avec l'interdiction d'avoir recours à l'usage de conteneur à gaz potentiellement explosifs dans des bâtiments de cette importance.
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