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.Koursk_K-141 (Wikipédia).
http://video.google.com/videoplay?docid=-1590113101705782427#
En Août 2000, le plus sophistiqué des sous-marins nucléaires russes, le Koursk, coule avec ses 118 membres d’équipage dans la mer de Barents.
Proposée par les britanniques, la thèse de l’explosion accidentelle d’une ancienne torpille deviendra très vite la version officielle.
Elle sera reprise par la plupart des médias russes et internationaux alors que les véritables raisons de ce naufrage n’ont jamais été élucidées.
Quatre années plus tard, à la suite d’une longue investigation, ce film met en lumière des faits troublants, totalement occultés par le pouvoir, qui ont permis au réalisateur Jean-Michel Carré d’élaborer une hypothèse plus plausible qui implique les Etats-Unis dans cet événement et met en perspective les nouveaux enjeux stratégiques entre la Russie, les Etats-Unis et la Chine. Au-delà de cette enquête sur les secrets, les mensonges, les dissimulations et les non-dits entourant le drame, le film propose une nouvelle vision des pratiques politiques que Vladimir Poutine met en place dès l’annonce de cet "accident". Pour répondre aux violentes attaques de la presse indépendante à son égard, le nouveau président orchestre méthodiquement la mise au pas de la presse et de la justice. Sa stratégie politique, militaire, diplomatique et économique, dans l’idée de redonner à la Russie sa stature de super puissance, se révèle intimement liée à la succession des événements qui ont entouré le Koursk durant trois années. Tel un documentaire de "contre-espionnage", ce film met en scène le décalage entre le vécu douloureux d’un pays sous le choc, et la "raison d’Etat" qui, dans l’intervalle de deux élections présidentielles, l’emportera sur le respect de la vie des citoyens et faire le lit de ce qui ressemble bien à une nouvelle dictature.
Proposée par les britanniques, la thèse de l’explosion accidentelle d’une ancienne torpille deviendra très vite la version officielle.
Elle sera reprise par la plupart des médias russes et internationaux alors que les véritables raisons de ce naufrage n’ont jamais été élucidées.
Quatre années plus tard, à la suite d’une longue investigation, ce film met en lumière des faits troublants, totalement occultés par le pouvoir, qui ont permis au réalisateur Jean-Michel Carré d’élaborer une hypothèse plus plausible qui implique les Etats-Unis dans cet événement et met en perspective les nouveaux enjeux stratégiques entre la Russie, les Etats-Unis et la Chine. Au-delà de cette enquête sur les secrets, les mensonges, les dissimulations et les non-dits entourant le drame, le film propose une nouvelle vision des pratiques politiques que Vladimir Poutine met en place dès l’annonce de cet "accident". Pour répondre aux violentes attaques de la presse indépendante à son égard, le nouveau président orchestre méthodiquement la mise au pas de la presse et de la justice. Sa stratégie politique, militaire, diplomatique et économique, dans l’idée de redonner à la Russie sa stature de super puissance, se révèle intimement liée à la succession des événements qui ont entouré le Koursk durant trois années. Tel un documentaire de "contre-espionnage", ce film met en scène le décalage entre le vécu douloureux d’un pays sous le choc, et la "raison d’Etat" qui, dans l’intervalle de deux élections présidentielles, l’emportera sur le respect de la vie des citoyens et faire le lit de ce qui ressemble bien à une nouvelle dictature.
.Koursk_K-141 (Wikipédia).
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