--
Attention, une nouvelle épidémie se prépare : déjà plus de 120 millions de personnes sont touchées dans le monde, un chiffre qui ne cesse d’augmenter.
Le remède ?
Pour beaucoup, ce sont les antidépresseurs. Depuis l’apparition des molécules de type Prozac, au début des années 90, ils semblent parés de toutes les vertus : peu d’effets secondaires, prescription rapide par des généralistes, efficacité. Résultat, leur marché est passé de 350 millions d’euros à 14 milliards d’euros aujourd’hui et près de 6 millions de Français en consomment tous les jours, un record européen.
L’épidémie pourrait sembler maîtrisée.
Mais, si les antidépresseurs sont si efficaces, comment expliquer que le nombre de malades continue inexorablement d’augmenter ? Selon l’étude anglaise du Professeur Kirsch, publiée en 2002, leur efficacité n’est pas prouvée mais, en plus, ils seraient addictifs et même dangereux, accroissant les risques de passages à l’acte violents. L’enquête pose également la question du rôle des industriels du médicament. Un rôle majeur puisque parmi les médecins qui ont participé à la dernière définition internationale de la dépression, 100 % d’entre eux avaient des liens financiers avec les laboratoires pharmaceutiques.
DIVULGUER INFORMER
Attention, une nouvelle épidémie se prépare : déjà plus de 120 millions de personnes sont touchées dans le monde, un chiffre qui ne cesse d’augmenter.
Le remède ?
Pour beaucoup, ce sont les antidépresseurs. Depuis l’apparition des molécules de type Prozac, au début des années 90, ils semblent parés de toutes les vertus : peu d’effets secondaires, prescription rapide par des généralistes, efficacité. Résultat, leur marché est passé de 350 millions d’euros à 14 milliards d’euros aujourd’hui et près de 6 millions de Français en consomment tous les jours, un record européen.
L’épidémie pourrait sembler maîtrisée.
Mais, si les antidépresseurs sont si efficaces, comment expliquer que le nombre de malades continue inexorablement d’augmenter ? Selon l’étude anglaise du Professeur Kirsch, publiée en 2002, leur efficacité n’est pas prouvée mais, en plus, ils seraient addictifs et même dangereux, accroissant les risques de passages à l’acte violents. L’enquête pose également la question du rôle des industriels du médicament. Un rôle majeur puisque parmi les médecins qui ont participé à la dernière définition internationale de la dépression, 100 % d’entre eux avaient des liens financiers avec les laboratoires pharmaceutiques.
DIVULGUER INFORMER
0 Laisser un Commentaire:
Enregistrer un commentaire