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Des chercheurs d’une Université de Hong Kong ont réussi à démontrer comment stocker des données cryptées… dans des bactéries! L’avenir du stockage de données informatiques dans des organismes vivants n’est peut-être pas si loin.
Une colonie de bactérie Escherichia coli (E. coli) a été utilisée pour l’expérience, avec l’équivalent de la Déclaration d’Indépendance des États-Unis stockées dans l’ADN de ces dix-huit cellules bactériennes. Etant donné que 10 millions de cellules sont présentes dans un gramme de matière organique, cela se traduirait par une capacité de stockage de données de 90 Go.
Pour les plus scientifiques d’entre vous, sachez que les données peuvent également être cryptées grâce au processus naturel de recombinaison génétique. L’information est brouillée par des gènes recombinases, dont les actions sont contrôlées par un facteur de transcription. Understood ?
Malgré quelques défauts, notamment au niveau du prix trop excessif du séquenceur qui récupère les données, les bactéries ont le potentiel d’être plus résistantes au maintien de stockage de données par rapport à un système traditionnel (disque dur, mémoire Flash, …). La bactérie Deinococcus radiodurans par exemple, peut résister à des impulsions électromagnétiques et à un rayonnement d’une guerre nucléaire.
DIVULGUER INFORMERUne colonie de bactérie Escherichia coli (E. coli) a été utilisée pour l’expérience, avec l’équivalent de la Déclaration d’Indépendance des États-Unis stockées dans l’ADN de ces dix-huit cellules bactériennes. Etant donné que 10 millions de cellules sont présentes dans un gramme de matière organique, cela se traduirait par une capacité de stockage de données de 90 Go.
Pour les plus scientifiques d’entre vous, sachez que les données peuvent également être cryptées grâce au processus naturel de recombinaison génétique. L’information est brouillée par des gènes recombinases, dont les actions sont contrôlées par un facteur de transcription. Understood ?
Malgré quelques défauts, notamment au niveau du prix trop excessif du séquenceur qui récupère les données, les bactéries ont le potentiel d’être plus résistantes au maintien de stockage de données par rapport à un système traditionnel (disque dur, mémoire Flash, …). La bactérie Deinococcus radiodurans par exemple, peut résister à des impulsions électromagnétiques et à un rayonnement d’une guerre nucléaire.
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