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! CENSURED DE DM, YouTube !
Le président de la République s’est dit désireux de voir la création d’un fichier pour recenser les élèves quittant la scolarité à 16 ans.
Déjà en expérimentation dans certains établissements, ce logiciel devrait permettre de déceler au plus tôt les cas de décrochage scolaire. Mais, dans un désir d’aller toujours plus loin dans la traçabilité, Nicolas Sarkozy a souhaité qu’on ait également trace de ceux qui quittent la scolarité à 16 ans.
Or, pour l’instant, c’est un trou noir dans éducation nationale (l'éducation national ??? Sophie Coignard - FM et l'éducation.). On connaît très bien les taux d’absentéisme dans le cadre de la scolarité obligatoire mais après, plus rien. Le chef de l’Etat voudrait bien savoir que deviennent tous ces jeunes qui quittent prématurément le système scolaire.
L’objectif affiché est d’équipé l’ensemble des établissements scolaires d’un tel logiciel de recensement dès 2011. Une fois que l’on aura bien identifié qui décroche et qui sort du système, il restera tout de même à agir…pour tenter de changer la donne…
En France, ce ne sont pas moins de 150 000 élèves qui quittent le système scolaire sans diplôme. Après un passage devant la Cnil, le logiciel a été validé. Et pourtant, de la même façon que Base élèves, il recueillera un très grand nombre de données personnelles…
La Cnil demande simplement que l’on informe les parents de l’inscription de leurs enfants au sein de ce logiciel. Mais on y retrouvera tout de même l’identité complète de l’élève avec les coordonnées du responsable légal. Ce programme rendra aussi compte de la scolarité de l’élève avec des résumés des entretiens qui auront pu être menés à son sujet.
Mais le ministère nous rassure tout de suite : « seules les personnes autorisées ont accès aux données : les chefs d'établissement et leur adjoint, les CPE (conseillers principaux d'éducation), le conseiller d'orientation psychologue et les enseignants, pour les élèves sous leur responsabilité, et les directeurs de CIO » rapporte l’AFP. Les données stockées ne devraient être conservées que sur une durée de deux ans.
Reste à évaluer le « plus » que pourrait amener l’utilisation d’un tel logiciel par rapport aux systèmes actuels qui entourent les élèves en difficulté. La question est bien moins de savoir qui est en difficulté, car cela tout le monde le sait, mais bien plutôt d'avoir des possibilités d'aide à mettre en place...
. La CNIL autorise le suivi et l'accompagnement des jeunes sortant sans diplôme du système de formation initiale .
rutube.ru/tracks/4060889.html?v=0e0005c8531457d4f0bbed5ee87bbd29&autoStart=true&bmstart=1000
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Le président de la République s’est dit désireux de voir la création d’un fichier pour recenser les élèves quittant la scolarité à 16 ans.
Déjà en expérimentation dans certains établissements, ce logiciel devrait permettre de déceler au plus tôt les cas de décrochage scolaire. Mais, dans un désir d’aller toujours plus loin dans la traçabilité, Nicolas Sarkozy a souhaité qu’on ait également trace de ceux qui quittent la scolarité à 16 ans.
Or, pour l’instant, c’est un trou noir dans éducation nationale (l'éducation national ??? Sophie Coignard - FM et l'éducation.). On connaît très bien les taux d’absentéisme dans le cadre de la scolarité obligatoire mais après, plus rien. Le chef de l’Etat voudrait bien savoir que deviennent tous ces jeunes qui quittent prématurément le système scolaire.
L’objectif affiché est d’équipé l’ensemble des établissements scolaires d’un tel logiciel de recensement dès 2011. Une fois que l’on aura bien identifié qui décroche et qui sort du système, il restera tout de même à agir…pour tenter de changer la donne…
En France, ce ne sont pas moins de 150 000 élèves qui quittent le système scolaire sans diplôme. Après un passage devant la Cnil, le logiciel a été validé. Et pourtant, de la même façon que Base élèves, il recueillera un très grand nombre de données personnelles…
La Cnil demande simplement que l’on informe les parents de l’inscription de leurs enfants au sein de ce logiciel. Mais on y retrouvera tout de même l’identité complète de l’élève avec les coordonnées du responsable légal. Ce programme rendra aussi compte de la scolarité de l’élève avec des résumés des entretiens qui auront pu être menés à son sujet.
Mais le ministère nous rassure tout de suite : « seules les personnes autorisées ont accès aux données : les chefs d'établissement et leur adjoint, les CPE (conseillers principaux d'éducation), le conseiller d'orientation psychologue et les enseignants, pour les élèves sous leur responsabilité, et les directeurs de CIO » rapporte l’AFP. Les données stockées ne devraient être conservées que sur une durée de deux ans.
Reste à évaluer le « plus » que pourrait amener l’utilisation d’un tel logiciel par rapport aux systèmes actuels qui entourent les élèves en difficulté. La question est bien moins de savoir qui est en difficulté, car cela tout le monde le sait, mais bien plutôt d'avoir des possibilités d'aide à mettre en place...
. La CNIL autorise le suivi et l'accompagnement des jeunes sortant sans diplôme du système de formation initiale .
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