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Le Dr Andrew Wakefield est discrédité pour empêcher la publication d’une étude historique aux conséquences potentiellement dévastatrices pour les fabricants de vaccins et les responsables de la santé publique. Pour la première fois, la santé de primates vaccinés a été comparée à celle de témoins non vaccinés.
Notre conviction la plus sincère, c’est que le Dr Wakefield et les parents d'enfants autistes du monde entier sont soumis à une campagne médiatique remarquable, manigancée par les fabricants de vaccins, se rapportant à la rétractation d'un article publié dans The Lancet en 1998 par le Dr Wakefield et ses collègues.
La rétractation de la revue The Lancet arrive en réaction à une décision du General Medical Council (GMC) d’Angleterre, un tribunal de clowns dans lequel les responsables de la santé publique servant de juge et jury sont manipulés par les fabricants de vaccins. Le Dr Wakefield renie fermement toute conclusion du GMC et projette un vigoureux appel.
En dépit de déclarations erronées endémiques, le document original du Dr Wakefield sur 12 enfants atteints de maladies intestinales graves et d'autisme, n'a jamais tranché sur la question de savoir si oui ou non les vaccins provoquent l'autisme, et la rétractation de The Lancet ne nous fait pas mieux comprendre ce problème complexe.
Le Dr Wakefield est l'un des gastro-entérologues les plus estimés et les plus publiés du monde. Il a publié des dizaines de documents depuis 1998 dans des revues révisées par les pairs et bien considérées du monde entier. Ses travaux documentant la maladie intestinale des enfants autistes et son exploration de nouvelles voies pour traiter la maladie intestinale, ont contribué à soulager la souffrance et la peine de milliers d'enfants autistes.
Lors de la décennie passée, des parents de notre communauté ont demandé une étude scientifique relativement simple, qui pourrait trancher une fois pour toutes le débat sur le possible rôle des vaccins dans l'épidémie d'autisme : Comparer des enfants vaccinés avec des enfants n'ayant jamais été vaccinés, et voir si le taux d'autisme est différent ou le même.
Peu de gens savent que ce très important travail a non seulement commencé, mais qu'une étude utilisant un modèle animal pour explorer en détail ce sujet a déjà été achevée.
Avec huit autres scientifiques distingués appartenant à des établissements comme les universités de Pittsburgh, du Kentucky, et de Washington, le Dr Wakefield est coauteur d'un ensemble d'études qui explorent les conséquences neurologiques chez les singes vaccinés par rapport aux non vaccinés.
La première phase de cette étude sur le singe a été publiée il y a trois mois dans la revue médicale réputée Neurotoxicology. De façon à mimer le planning vaccinal des États-Unis, elle se focalisait sur les deux premières semaines de la vie, les singes vaccinés ayant reçu une seule injection contre l'hépatite B. Comme vous pouvez le constater vous-même, les résultats sont inquiétants. Les singes vaccinés, contrairement à leurs homologues non vaccinés, ont souffert d’une perte de beaucoup de réflexes essentiels à la survie.
Le Dr Wakefield et ses collègues scientifiques sont sur le point de publier dans sa totalité leur étude, qui a suivi les singes tout au long du planning vaccinal infantile étasunien, sur une période de plusieurs années. Il est de notre compréhension que la différence de résultat entre singes vaccinés et témoins non vaccinés est à la fois sévère et dévastatrice.
Il ne fait aucun doute que la publication de l'étude sur les singes accordera une grande crédibilité à la théorie de la vaccination des jeunes enfants entraînant des dommages neurologiques, dont l'autisme. Pour les responsables des vaccinations et les agents de la santé publique, les retombées de l'étude seraient graves. Après avoir nié toute possibilité de lien entre vaccin et autisme pendant si longtemps, tout en profitant d'un immense boum des ventes de vaccins dernièrement dans le monde, il n'est pas surprenant qu'ils cherchent à étouffer cet important travail.
La pression en coulisses est immense et elle augmente chaque jour pour empêcher la publication des travaux du Dr Wakefield et de ses collègues. Les magazines médicaux risquent des réactions extrêmement violentes en publiant des études qui remettent en cause l’innocuité du programme vaccinal, quelle que puisse être la qualité de conception et d’approfondissement de la recherche. Neurotoxicology, une revue médicale hautement estimée, mérite des éloges pour avoir publié avec courage la première phase de l’étude sur la vaccination chez le singe.
La presse a été gravement trompée sur la façon dont The Lancet s’est rétracté et sur la description du simulacre de procès contre le Dr Wakefield. Le Dr Wakefield est calomnié dans une campagne de dénigrement bien orchestrée, dirigée par les compagnies pharmaceutiques et leurs porte-parole bien rémunérés, dans le but d’empêcher cet important nouvel ouvrage de voir la lumière du jour.
Quelle revue médicale pourrait vouloir s’interposer devant pareil rouleau compresseur ? De plus, pourquoi est-ce que The Lancet et GMC agissent soudainement maintenant, après 12 ans d'inaction ? Est-ce une coïncidence au moment où l'étude sur les singes est soumise à des revues médicales pour examen et publication ?
Nous demandons instamment aux médias d’examiner attentivement la première phase de l'étude sur les singes dont nous parlons ci-dessus, et de commencer par poser une question très simple : Quelle est la conséquence finale pour les 14 primates vaccinés en conformité avec le programme de vaccination des États-Unis et quelle est la comparaison par rapport aux témoins non vaccinés ?
Le planning vaccinal des États-Unis s’est élargi de 10 vaccins administrés à nos enfants dans les années 80 à 36 aujourd'hui, en correspondance parfaite avec la dramatique poussée d’autisme. Au lieu de censurer le progrès scientifique, les travaux du Dr Wakefield et de ses collègues méritent d'être partagés avec le monde pour servir.
SOURCE: http://www.generationrescue.org/wakefield_statement2.html
TRADUCTION: Pétrus Lombard
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Le Dr Andrew Wakefield est discrédité pour empêcher la publication d’une étude historique aux conséquences potentiellement dévastatrices pour les fabricants de vaccins et les responsables de la santé publique. Pour la première fois, la santé de primates vaccinés a été comparée à celle de témoins non vaccinés.
Notre conviction la plus sincère, c’est que le Dr Wakefield et les parents d'enfants autistes du monde entier sont soumis à une campagne médiatique remarquable, manigancée par les fabricants de vaccins, se rapportant à la rétractation d'un article publié dans The Lancet en 1998 par le Dr Wakefield et ses collègues.
La rétractation de la revue The Lancet arrive en réaction à une décision du General Medical Council (GMC) d’Angleterre, un tribunal de clowns dans lequel les responsables de la santé publique servant de juge et jury sont manipulés par les fabricants de vaccins. Le Dr Wakefield renie fermement toute conclusion du GMC et projette un vigoureux appel.
En dépit de déclarations erronées endémiques, le document original du Dr Wakefield sur 12 enfants atteints de maladies intestinales graves et d'autisme, n'a jamais tranché sur la question de savoir si oui ou non les vaccins provoquent l'autisme, et la rétractation de The Lancet ne nous fait pas mieux comprendre ce problème complexe.
Le Dr Wakefield est l'un des gastro-entérologues les plus estimés et les plus publiés du monde. Il a publié des dizaines de documents depuis 1998 dans des revues révisées par les pairs et bien considérées du monde entier. Ses travaux documentant la maladie intestinale des enfants autistes et son exploration de nouvelles voies pour traiter la maladie intestinale, ont contribué à soulager la souffrance et la peine de milliers d'enfants autistes.
Lors de la décennie passée, des parents de notre communauté ont demandé une étude scientifique relativement simple, qui pourrait trancher une fois pour toutes le débat sur le possible rôle des vaccins dans l'épidémie d'autisme : Comparer des enfants vaccinés avec des enfants n'ayant jamais été vaccinés, et voir si le taux d'autisme est différent ou le même.
Peu de gens savent que ce très important travail a non seulement commencé, mais qu'une étude utilisant un modèle animal pour explorer en détail ce sujet a déjà été achevée.
Avec huit autres scientifiques distingués appartenant à des établissements comme les universités de Pittsburgh, du Kentucky, et de Washington, le Dr Wakefield est coauteur d'un ensemble d'études qui explorent les conséquences neurologiques chez les singes vaccinés par rapport aux non vaccinés.
La première phase de cette étude sur le singe a été publiée il y a trois mois dans la revue médicale réputée Neurotoxicology. De façon à mimer le planning vaccinal des États-Unis, elle se focalisait sur les deux premières semaines de la vie, les singes vaccinés ayant reçu une seule injection contre l'hépatite B. Comme vous pouvez le constater vous-même, les résultats sont inquiétants. Les singes vaccinés, contrairement à leurs homologues non vaccinés, ont souffert d’une perte de beaucoup de réflexes essentiels à la survie.
Le Dr Wakefield et ses collègues scientifiques sont sur le point de publier dans sa totalité leur étude, qui a suivi les singes tout au long du planning vaccinal infantile étasunien, sur une période de plusieurs années. Il est de notre compréhension que la différence de résultat entre singes vaccinés et témoins non vaccinés est à la fois sévère et dévastatrice.
Il ne fait aucun doute que la publication de l'étude sur les singes accordera une grande crédibilité à la théorie de la vaccination des jeunes enfants entraînant des dommages neurologiques, dont l'autisme. Pour les responsables des vaccinations et les agents de la santé publique, les retombées de l'étude seraient graves. Après avoir nié toute possibilité de lien entre vaccin et autisme pendant si longtemps, tout en profitant d'un immense boum des ventes de vaccins dernièrement dans le monde, il n'est pas surprenant qu'ils cherchent à étouffer cet important travail.
La pression en coulisses est immense et elle augmente chaque jour pour empêcher la publication des travaux du Dr Wakefield et de ses collègues. Les magazines médicaux risquent des réactions extrêmement violentes en publiant des études qui remettent en cause l’innocuité du programme vaccinal, quelle que puisse être la qualité de conception et d’approfondissement de la recherche. Neurotoxicology, une revue médicale hautement estimée, mérite des éloges pour avoir publié avec courage la première phase de l’étude sur la vaccination chez le singe.
La presse a été gravement trompée sur la façon dont The Lancet s’est rétracté et sur la description du simulacre de procès contre le Dr Wakefield. Le Dr Wakefield est calomnié dans une campagne de dénigrement bien orchestrée, dirigée par les compagnies pharmaceutiques et leurs porte-parole bien rémunérés, dans le but d’empêcher cet important nouvel ouvrage de voir la lumière du jour.
Quelle revue médicale pourrait vouloir s’interposer devant pareil rouleau compresseur ? De plus, pourquoi est-ce que The Lancet et GMC agissent soudainement maintenant, après 12 ans d'inaction ? Est-ce une coïncidence au moment où l'étude sur les singes est soumise à des revues médicales pour examen et publication ?
Nous demandons instamment aux médias d’examiner attentivement la première phase de l'étude sur les singes dont nous parlons ci-dessus, et de commencer par poser une question très simple : Quelle est la conséquence finale pour les 14 primates vaccinés en conformité avec le programme de vaccination des États-Unis et quelle est la comparaison par rapport aux témoins non vaccinés ?
Le planning vaccinal des États-Unis s’est élargi de 10 vaccins administrés à nos enfants dans les années 80 à 36 aujourd'hui, en correspondance parfaite avec la dramatique poussée d’autisme. Au lieu de censurer le progrès scientifique, les travaux du Dr Wakefield et de ses collègues méritent d'être partagés avec le monde pour servir.
SOURCE: http://www.generationrescue.org/wakefield_statement2.html
TRADUCTION: Pétrus Lombard
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