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Voilà après 2 ans sur ce blog, un déménagement s'est imposé, voici le nouveau site :
- http://conxientia.fr/ -
Merci à vous tous et toutes et que l'information continu !
Tout les articles de ce blog se retrouvent sur le site, veuillez laisser vos commentaires sur le site et pas le blog ;)
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mercredi 28 octobre 2009
GENOCIDE DE 2 TIERS DE L'HUMANITE - BILDERBERG
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Le projet "BLUE BEAM" - 4 phases
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Cette thèse conspirationniste véhiculée par les mouvances chrétiennes américaines et autres mérite d'être mentionnée. Il s'agit d'une version de l'Apocalypse intégrant les technologies de pointe de notre époque. C'est là, l'aspect le plus frappant du projet Blue Beam dont le scénario est écrit depuis des lustres dans la Bible.
Cette thèse conspirationniste véhiculée par les mouvances chrétiennes américaines et autres mérite d'être mentionnée. Il s'agit d'une version de l'Apocalypse intégrant les technologies de pointe de notre époque. C'est là, l'aspect le plus frappant du projet Blue Beam dont le scénario est écrit depuis des lustres dans la Bible.
ERUPTION SOLAIRE en cours...
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L’éruption solaire en cours, répertoriée 1028, qui a débuté il y a 48h, est la plus importante de l’année. Les rayons X émis par cette éruption sont de classe C. Ce qui ne présente pas de dangers pour l’instant. Sont évolution est à suivre de près, dans la mesure ou, après la rotation du soleil, elle se représentera demain face à la terre. Sont intensité peut toujours évoluer dans un sens ou dans l’autre.
Rappelons que les scientifiques classent les éruptions solaires en fonction de l’intensité de l’émission de rayons X, dans la gamme des longueurs d’ondes de 1 à 8 angströms. Il existe 3 catégories : les grandes éruptions de classe X, qui provoquent des événements majeurs et peuvent provoquer des coupures de radiocommunications à l’échelle planétaire et des tempêtes de radiations de longue durée. Les éruptions de classe M sont de taille moyenne, elles peuvent provoquer des pannes radioélectriques brèves, qui n’affectent que les régions polaires de la terre. Des tempêtes de radiations mineures suivent parfois une éruption de classe M. Par rapport aux classes X et M, les éruptions de classe C sont petites avec peu de conséquences pour la Terre.
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L’éruption solaire en cours, répertoriée 1028, qui a débuté il y a 48h, est la plus importante de l’année. Les rayons X émis par cette éruption sont de classe C. Ce qui ne présente pas de dangers pour l’instant. Sont évolution est à suivre de près, dans la mesure ou, après la rotation du soleil, elle se représentera demain face à la terre. Sont intensité peut toujours évoluer dans un sens ou dans l’autre.
Rappelons que les scientifiques classent les éruptions solaires en fonction de l’intensité de l’émission de rayons X, dans la gamme des longueurs d’ondes de 1 à 8 angströms. Il existe 3 catégories : les grandes éruptions de classe X, qui provoquent des événements majeurs et peuvent provoquer des coupures de radiocommunications à l’échelle planétaire et des tempêtes de radiations de longue durée. Les éruptions de classe M sont de taille moyenne, elles peuvent provoquer des pannes radioélectriques brèves, qui n’affectent que les régions polaires de la terre. Des tempêtes de radiations mineures suivent parfois une éruption de classe M. Par rapport aux classes X et M, les éruptions de classe C sont petites avec peu de conséquences pour la Terre.
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INDONESIE: astéroide de type "HYROSHIMA"
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Un panache de fumée de 10 mètres de large a touché la Terre, un astéroïde a explosé dans l’atmosphère avec l’énergie d’une petite bombe atomique. Effrayé par des bruits de tonnerre, alors que les murs tremblaient, les gens se sont précipités dehors, pensant à un tremblement de terre. Tout ce qu’ils ont vu est un panache de fumée distordu, avec des débris plein le ciel, vers la mi-journée.
C’est ce qui s’est réellement passé le 8 octobre vers 11 h, heure locale, dans la ville côtière de Bône, en Indonésie. L’explosion qui a ébranlé la terre, n’a pas reçu de couverture médiatique en occident, mais les spécialistes des météores lui ont accordé toute leur attention. "L’explosion a déclenché les capteurs infrasons de surveillance du traité d’interdiction complète des essais nucléaires (OTICE), à plus de 10.000 km de là, « les rapports des chercheurs Elizabeth Silber et Peter Brown, de l’Université de Western Ontario, ont été communiqués à la presse le 19 octobre. Leur analyse des données infrasonores, ont révélé une explosion au point de coordonnées 4.5S, 120E, avec une puissance d’environ 50 kilotonnes de TNT. Cela représente deux à trois fois la bombe d’Iroshima.
L’astéroïde était inconnu avant qu’il n’explose, les astronomes ont été complètement pris de cours. Selon des études statistiques sur les géocroiseurs, ces objets sont censés entrer en collision avec la Terre, en moyenne tous les 2 à 12 ans. « Suite aux observations provenant de sources diverses, des efforts d’observations seraient très précieux pour affirmer que cet événement est unique, disent Silber et Brown.
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Un panache de fumée de 10 mètres de large a touché la Terre, un astéroïde a explosé dans l’atmosphère avec l’énergie d’une petite bombe atomique. Effrayé par des bruits de tonnerre, alors que les murs tremblaient, les gens se sont précipités dehors, pensant à un tremblement de terre. Tout ce qu’ils ont vu est un panache de fumée distordu, avec des débris plein le ciel, vers la mi-journée.
C’est ce qui s’est réellement passé le 8 octobre vers 11 h, heure locale, dans la ville côtière de Bône, en Indonésie. L’explosion qui a ébranlé la terre, n’a pas reçu de couverture médiatique en occident, mais les spécialistes des météores lui ont accordé toute leur attention. "L’explosion a déclenché les capteurs infrasons de surveillance du traité d’interdiction complète des essais nucléaires (OTICE), à plus de 10.000 km de là, « les rapports des chercheurs Elizabeth Silber et Peter Brown, de l’Université de Western Ontario, ont été communiqués à la presse le 19 octobre. Leur analyse des données infrasonores, ont révélé une explosion au point de coordonnées 4.5S, 120E, avec une puissance d’environ 50 kilotonnes de TNT. Cela représente deux à trois fois la bombe d’Iroshima.
L’astéroïde était inconnu avant qu’il n’explose, les astronomes ont été complètement pris de cours. Selon des études statistiques sur les géocroiseurs, ces objets sont censés entrer en collision avec la Terre, en moyenne tous les 2 à 12 ans. « Suite aux observations provenant de sources diverses, des efforts d’observations seraient très précieux pour affirmer que cet événement est unique, disent Silber et Brown.
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PETMAN, robot bipède.
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La société Boston Dynamics, qui a déjà conçu le robot BigDog, a mis au point un nouveau robot, capable de marcher comme un humain : le robot bipède PetMan.
Le robot PetMan (pour « Protection Ensemble Test Mannequin« ) est destiné à tester les vêtements de protection chimique de l’armée américaine, et en fait le premier robot antropomorphe.
« Le robot Petman permettra de s’auto-équilibrer et de se déplacer librement, en marchant, rampant et faisant un grand nombre de tests de résistance sur les tissus exposés à des agents chimiques utilisés en guerre » explique la société.
« Petman pourra également simuler la physiologie humaine dans les vêtements de protection, en contrôlant la température, l’humidité et la transpiration lorsque cela est nécessaire, tout cela pour offrir des conditions de tests les plus réalistes possible. »
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La société Boston Dynamics, qui a déjà conçu le robot BigDog, a mis au point un nouveau robot, capable de marcher comme un humain : le robot bipède PetMan.
Le robot PetMan (pour « Protection Ensemble Test Mannequin« ) est destiné à tester les vêtements de protection chimique de l’armée américaine, et en fait le premier robot antropomorphe.
« Le robot Petman permettra de s’auto-équilibrer et de se déplacer librement, en marchant, rampant et faisant un grand nombre de tests de résistance sur les tissus exposés à des agents chimiques utilisés en guerre » explique la société.
« Petman pourra également simuler la physiologie humaine dans les vêtements de protection, en contrôlant la température, l’humidité et la transpiration lorsque cela est nécessaire, tout cela pour offrir des conditions de tests les plus réalistes possible. »
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OVNI ZIMBABWE en 1994.
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C'est à Ruwa, Zimbabwe que se trouve l'école de Arial, située à 20 kilomètres de la capitale Harare.
Comme à l'ordinaire, ce 16 septembre 1994, les enfants jouent dans la cour d'école tandis que les professeurs profitent de la pause pour tenir un conseil dans la salle de réunion.
Le jeu des enfants est interrompu quand une ” soucoupe volante ” se pose près de la zone de récréation pour y débarquer d'étranges humanoides.
Des élèves se précipitent dans la salle de réunion pour avertir les adultes. Colin Mackie, le directeur de l'etablissement, témoigne de l'absence d'intérêt du corps enseignant :
” Nous étions en pleine réunion. Aucun enseignant n'aperçut quoi que soit. Quelques élèves prirent des collègues à parti pour leur signaler cette étrange présence. Mais nous n'y prêtions aucune attention. J'ai commencé à prendre l'affaire au sérieux quand des parents d'élèves vinrent me voir et inspecter les lieux de l'incident “.
Pas moins de 62 élèves âgés de 8 à 12 ans observent la ” soucoupe volante ” et les deux ” extraterrestres “, dont les descriptions se recoupent. Ce n'était pas un humain. Je ne sais pas ce que c'était, mais il avait une grosse tête et de gros yeux noirs et portait une combinaison noire “, se rappelle une élève.
Après enquête, John Mack, professeur de psychiatrie à Harvard, atteste de la sincérité des témoins.
Les occupants de l'OVNI auraient adressé une communication télépathique aux enfants. Interrogée sur les raisons de cette visite ” extraterrestre “, une élève explique que les ” extraterrestres ” ” nous communiquèrent l'imminence de la fin du monde. Ils veulent nous faire prendre conscience que nous détruisons la planète. Ces idées me sont venues comme cela dans la tête. L'humanoide ne parlait pas. Il s'exprimait avec ses yeux. Il avait l'air ” horrible “.
Effrayée, la fillette décrit sa vision d'horreur, communiquée par les ” êtres ” :
” C'était comme si tous les arbres du monde agonisaient, qu'il n'y avait plus d'air respirable et que les gens allaient tous mourir “.
Plusieurs élèves furent interrogés par Cynthia Hind, ufologue africaine, en présence de Colin Mackie :
” Je peux vous assurer que les élèves n'auraient jamais osé raconter des sottises en présencedu directeur de l'école, qu'ils craignent par dessus tout “.
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C'est à Ruwa, Zimbabwe que se trouve l'école de Arial, située à 20 kilomètres de la capitale Harare.
Comme à l'ordinaire, ce 16 septembre 1994, les enfants jouent dans la cour d'école tandis que les professeurs profitent de la pause pour tenir un conseil dans la salle de réunion.
Le jeu des enfants est interrompu quand une ” soucoupe volante ” se pose près de la zone de récréation pour y débarquer d'étranges humanoides.
Des élèves se précipitent dans la salle de réunion pour avertir les adultes. Colin Mackie, le directeur de l'etablissement, témoigne de l'absence d'intérêt du corps enseignant :
” Nous étions en pleine réunion. Aucun enseignant n'aperçut quoi que soit. Quelques élèves prirent des collègues à parti pour leur signaler cette étrange présence. Mais nous n'y prêtions aucune attention. J'ai commencé à prendre l'affaire au sérieux quand des parents d'élèves vinrent me voir et inspecter les lieux de l'incident “.
Pas moins de 62 élèves âgés de 8 à 12 ans observent la ” soucoupe volante ” et les deux ” extraterrestres “, dont les descriptions se recoupent. Ce n'était pas un humain. Je ne sais pas ce que c'était, mais il avait une grosse tête et de gros yeux noirs et portait une combinaison noire “, se rappelle une élève.
Après enquête, John Mack, professeur de psychiatrie à Harvard, atteste de la sincérité des témoins.
Les occupants de l'OVNI auraient adressé une communication télépathique aux enfants. Interrogée sur les raisons de cette visite ” extraterrestre “, une élève explique que les ” extraterrestres ” ” nous communiquèrent l'imminence de la fin du monde. Ils veulent nous faire prendre conscience que nous détruisons la planète. Ces idées me sont venues comme cela dans la tête. L'humanoide ne parlait pas. Il s'exprimait avec ses yeux. Il avait l'air ” horrible “.
Effrayée, la fillette décrit sa vision d'horreur, communiquée par les ” êtres ” :
” C'était comme si tous les arbres du monde agonisaient, qu'il n'y avait plus d'air respirable et que les gens allaient tous mourir “.
Plusieurs élèves furent interrogés par Cynthia Hind, ufologue africaine, en présence de Colin Mackie :
” Je peux vous assurer que les élèves n'auraient jamais osé raconter des sottises en présencedu directeur de l'école, qu'ils craignent par dessus tout “.
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