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Trois eurodéputés sont accusés par le Sunday Times d'avoir réclamé de l'argent pour déposer des amendements favorables au secteur bancaire. Des faits graves qui s'ajoutent à une pratique courante à Bruxelles: des amendements écrits par des lobbies sont repris tels quels par des élus européens. En toute bonne conscience!
Le piège a fonctionné. Les journalistes du Sunday Times voulaient vérifier si des eurodéputés étaient prêts à "vendre leurs services" pour promouvoir certains amendements livrés clé en main par des entreprises. Résultat : "peut-être le plus grand scandale de corruption de l'histoire du Parlement européen", d'après le journal dominical. Trois députés ont été pris la main dans le pot de confiture. Deux ont déjà démissionné.
Les enquêteurs se sont fait passer pour des lobbyistes travaillant pour une entreprise (fictive). Ils ont proposé à 60 eurodéputés ce marché: un poste de consultant, grassement rémunéré (jusqu'à 100 000 euros l'année), au sein d'un pseudo "Conseil d'experts internationaux", en échange du dépôt d'amendements favorables à l'industrie financière. Une quinzaine d'eurodéputés a mordu à l'hameçon et trois d'entre eux auraient joué le "jeu" jusqu'au bout...Suite
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Trois eurodéputés sont accusés par le Sunday Times d'avoir réclamé de l'argent pour déposer des amendements favorables au secteur bancaire. Des faits graves qui s'ajoutent à une pratique courante à Bruxelles: des amendements écrits par des lobbies sont repris tels quels par des élus européens. En toute bonne conscience!
Le piège a fonctionné. Les journalistes du Sunday Times voulaient vérifier si des eurodéputés étaient prêts à "vendre leurs services" pour promouvoir certains amendements livrés clé en main par des entreprises. Résultat : "peut-être le plus grand scandale de corruption de l'histoire du Parlement européen", d'après le journal dominical. Trois députés ont été pris la main dans le pot de confiture. Deux ont déjà démissionné.
Les enquêteurs se sont fait passer pour des lobbyistes travaillant pour une entreprise (fictive). Ils ont proposé à 60 eurodéputés ce marché: un poste de consultant, grassement rémunéré (jusqu'à 100 000 euros l'année), au sein d'un pseudo "Conseil d'experts internationaux", en échange du dépôt d'amendements favorables à l'industrie financière. Une quinzaine d'eurodéputés a mordu à l'hameçon et trois d'entre eux auraient joué le "jeu" jusqu'au bout...Suite
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;;) elle est bonne celle là, la main dans le sac!!!=))
MDR merci pour l'info
BKs.
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